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Archive mensuelle 28 juin 2012

UN LASERISTE BIEN PLACE EN ILE DE FRANCE

Nicolas Thepaut sur son laser 4.7 a dignement représenté le club de voile du Parisis pendant les régates de ligue et d’interligue, dans cette série cette année .
depuis février Nicolas a aligné les premières places à Cergy, Saint Quentin en Yvelines, Créteil et plus récemment sur le lac du Der. Les SNF ont été l’un des premiers clubs de voile de la région à investir dans les gréments de laser  4.7 dès 2003.Dans les débuts faute d’avoir suffisament de lasers ces gréments réduits étaient implantés sur de vieilles coques de X4 et faisaient quand même le bonheur de leurs utilisateurs.Nicolas, meilleur barreur du classement 2011 de La frette n’a cependant pas encore remporté une régate intersérie dans le  championnat départemental du Val d’ Oise, en 2012, bien qu’il figure tout de même aux places d’honneur.
le titre prestigieux  de champion de ligue  en laser 4.7 ne devrait pas lui échapper cette année, et il lui reste deux régates pour réparer son oubli dans le championnat départemental.
Bravo Nicolas!

UNE DEPARTEMENTALE FRETTOISE BIEN ARROSEE

Trempés, rincés, essorés, les 17 équipages des voiliers de la régate départementale frettoise avaient l’impression de participer à un programme de machine à laver.
L’eau commençait par s’infiltrer dans les cols des combinaisons de cap-hornier ou de pompiste des coureurs au bout de quelques bords seulement et dégoulinait ensuite dans les manches pour attaquer les bras, tandis que les pieds mijotaient depuis longtemps dans les cockpits transformés en baignoire. La sueur attaquait ensuite tout ce qui aurait pu rester sec.
Vous l’avez compris « régate sous pluie, source de dépits », cette prolongation du printemps pluvieux contredisait la météo du milieu de la semaine qui devait sans doute concerner un spot hawaïen plutôt qu’un plan d’eau valoisien.
Le vent fort annoncé en provenance du sud-ouest se fit un peu prier, à l’exception d’une manche agrémentée de quelques rafales un peu brutales qui firent réaliser à Jean quelques cascades dignes de la coupe Raymond.
Quelques équipages, douchés, ne réussirent même pas à terminer une course malgré les encouragements de Bruno, qui avait de bon gré échangé son ciré de coureur pour celui d’organisateur.
Chez les frettois, Gonzague domina son sujet et mouilla son k-way s’offrant même le luxe de battre les frères Thépaut venus en force et à deux, et ce grâce à sa régularité.
Chez nos invités, essentiellement la bande de jeunes du CV95 emmenée par Ferréol, ce dernier en bon leader , fut à la hauteur de sa réputation en s’offrant même une 2eme place dans la 2eme manche , devant Audrey meilleure féminine de la régate, Killian et Sacha.
Chez les juniors frettois, Amine se rapproche tout doucement de Nicolas, mais devance Brice et Manu, et ce qui constitue une performance inhabituelle jusqu’ici, pourrait fort bien se répéter.
Seuls représentants du CYVIA, Cyrille et Cristelle terminent juste derrière Jean Paul et Thomas qui décrochent leur première timbale de la saison en double.
François qui rêvait d’une possible dernière manche en yole ok sous le soleil, dut se contenter de vérifier l’étanchéité de sa combinaison vintage de pompiste en arrivant sur le quai vers 16 heures Quelques échanges avec les cap-horniers accompagnateurs lui firent l’effet d’une douche froide.
Après les résultats concoctés par Jean-Paul, (gloire à Gonzague, aux frères Thépaut, à Ferréol, Audrey et Thomas équipier de Jean- Paul), quelques frettois historiques trainaient encore autour du bar en refaisant la régate autour d’un verre et des restes du barbecue si ensoleillé de la veille.
« Ce n’est pas toujours le meilleur qui gagne à La Frette » constata, un brin désabusé et provocateur un laseriste passionné.
« Des fois il faut boire la coupe jusqu’à la lie » rétorqua le vainqueur en brandissant ironiquement un trophée déjà généreusement remis en jeu.

VICTOIRE FRETTOISE EN VO DANS LA DESCENTE

La descente de Seine est une transhumance annuelle qui, sur le fleuve , amène invariablement les très nombreux voiliers de trois clubs du Pecq à La Frette, en passant par Montesson.Sa préparation est fastidieuse, et son organisation ne l’est pas moins, car elle mobilise des dirigeants de clubs, un comité de course, des arbitres, des conducteurs de sécurité, des remorqueurs comme dans les tableaux d’ Haffner, des ravitailleurs en boissons pour l’accueil et bien d’autres bénévoles. Merci à Philippe, Loïc, Gonzague, Patricia , Jean Paul, Nadia, Josian, Anne-Marie, Sylvie,Brice et toutes celles et ceux que j’aurais pu oublier.
La descente est plus appréciée quand il y a du vent, mais en général le courant suffit pour amener à bon port les concurrents.
Dans sa grande sagesse ces dernières années, la descente partait dans le sens de la descente et les concurrents n’y trouvaient pas grand-chose à redire car la descente est avant tout un rassemblement qui avait commencé un 1er mai comme l’a rappelé Michel Moreuil, l’un de ses fondateurs, à l’occasion de cette 31eme édition.
Cette année le comité de course avait tenté un départ au près avec une bouée de dégagement à virer en amont comme dans toute autre régate qui se respecte un vent apparemment constant le matin semblait justifier ce choix audacieux.
Hélas le vent, le vent fripon, cher à Brassens se fit bien vite moins constant, car « la descente » n’est plus habituée à commencer par une montée.
La bouée d’amont au moment du passage des croiseurs, dépassa les limites de son rôle sélectif pour se transformer en passage à niveau fermé pour une douzaine de voiliers de toute catégorie.Ces derniers patientèrent trois bons quarts d’heures lors de vaines tentatives de passage entre risées aléatoires et courant constant , alors que le gros de la flotte profitait vent arrière d’une belle régate classique, vers Montesson la lointaine.
Des solutions extrêmes furent essayées comme de gagner l’autre rive remonter 500 mètres et essayer de passer sur l’élan de la descente
le fatal obstacle. La rumeur fit état de fâcheux propos parlant de supprimer une bouée à grands coups d’opinel. Mais quel créditaccorder à une telle rumeur ?
Les retardataires, une fois l’obstacle miraculeusement franchi se retrouvèrent bizarrement à descendre un fleuve désert avec la sensation d’avoir manqué un épisode mais, sur les bateaux les plus stables, des équipages en profitèrent pour entamer le piquenique avant la pause, histoire de se remonter le moral, faute de remonter le
reste de la flotte. Les écarts se mesuraient déjà en miles.
Cette année les croiseurs réussirent à s’agglutiner bord à bord à Montesson lors du repas où la bouée amont tint la vedette des conversations sans pour autant faire l’objet de propos particulièrement élogieux.
S’en suivirent quelques rumeurs sur une fermeture de ligne qui sapèrent définitivement le moral des retardataires.
Fidèle à sa politique du jour et confiant dans un vent qui se renforçait, le comité de course indiqua un nouveau départ vers l’amont, mais laissa une distance plus réduite entre la ligne et la bouée, peine perdue après le départ raté des croiseurs en panne de vent, la bouée amont fut définitivement abolie sous lesapplaudissements des uns et les regrets hypocrites des autres.
La deuxième partie de la régate fut plus enlevée de ce fait, les spis envoyés rapidement pour le plaisir des spectateurs plus friands
de voiles de couleurs gonflées que de bateaux lamentablement scotchés devant
une bouée.
Les conducteurs de sécurité surent faire le ménage au passage des péniches en rabattant avec autorité les concurrents parfois
réticents quand il le fallait.
Les joies du vent arrière et ses effets accordéons furent respectées ce qui amena des duels parfois inattendus entre des Vauriens et des Vent d’Ouest et l’arrivée à La Frette sous le soleil fut particulièrement réussie et disputée. Le comité de course avait parfois bien du mal à distinguer les Numéros des voiles dans ces conditions, ce qui aurait pu cette fois justifier une arrivée au près avec un vent suffisant.
Pour les frettois il s’agissait cette année de conserver la coupe des vents d’ouest pour leur club, mission réussie par l’équipage du VO 168, (voilier le plus titré du club jusqu‘en 1996,) qui renouait enfin avec la victoire, barré cette fois par Frederik son ancien équipier.
Frederik était équipé par Amine, spécialiste du laser, et pour l’occasion manipulateur de spi de grand talent.
En 2011 c’était Alain le père de Frederik qui avait gagné dans cette catégorie, « la descente » est-elle devenue une affaire de famille à La frette ?
Les dériveurs frettois étaient représentés par Jean Loup en Finn et Bruno en Vaurien, Bruno et fils terminent très étonnés et deuxièmes, derrière un autre Vaurien au moderne gréement surtoilé.

LA COUPE RAYMOND 2012

En toute objectivité les conditions météorologiques optimales n’étaient pas vraiment réunies pour faciliter les manœuvres nautiques des dix équipages réunis pour disputer la coupe Raymond ce 3 juin 2012.

Le temps de cette fête des mères était couvert de nuages aussi sombres que les tragiques destinées princières relatées par les chroniqueurs mondains télévisuels.

Le vent soufflait d’ouest, c’est-à-dire en rafales incertaines détournées par les arbres de la plaine d’Achères.

Le temps de passage aux bouées d’amont et d’aval frisa parfois le quart d’heure avec ses quotas de ruptures d’engagement faisant perdre leur sang-froid aux bons connaisseurs de la règle 18.Les navigateurs constatèrent même une remontée des eaux d’au moins 20 centimètre sen cours d’après-midi, c’est vous dire s’il y avait du courant .

Néanmoins quelques risées salvatrices vinrent remonter le moral des troupes et rapprocher les voiliers de la ligne d’arrivée, c’est vous dire qu’il y avait quand même du vent quelquefois.

Mais le navigateur ou la navigatrice frettois(se) se joue des difficultés de dame météo  en naviguant sur la Seine pour le simple plaisir d’être sur l’eau et pour la plus grande joie des dames en crinoline qui déambulent le dimanche sur les bords de Seine espérant toujours le retour d’un laseriste au physique de surfer .C’est vous dire si on ne se console pas des départs dans l’ouest.

Car comme vous le savez la coupe Raymond n’est pas attribuée au vainqueur de la régate mais à celui ou celle dont l’action spectaculaire volontaire ou non a marqué les esprits lors de la journée.

Il fallut bien en convenir lors de la pause méridienne, nous n’avions pas grand-chose à nous mettre sous la dent, à part un «  bain de siège jusqu’au nombril » du malheureux Raphael, coincé sous le vent pendant une rafale traitresse lors de l’enroulement de la bouée amont.

Un concurrent frettois, venu baptiser son Solo si british, sur le fleuve, pour cette régate, si particulière affichait même une mine désabusée. C’est vous dire si la coupe Raymond doit être fidèle à sa réputation.

Lors de la reprise, l’espoir revint de façon inattendue. Alain qui participait à l’organisation sur l’un des bateaux de sécurité , voyant un avant de solo aux prises avec un safran de laser, n’écoutant que son courage , embarqua sur le pont du solo en provenance du quai.

Mal lui en prit, car à la différence d’un Vent d’ouest le solo qui est un dériveur solitaire n’est pas lesté et les plus récentes études des spécialistes de l’architecture navale confirment qu’il n’a pas beaucoup de volume à l’avant.

En résumé ce fut une belle cascade, bateau couché, cascadeur mouillé, le tout accompagné d’impressionnants mouvements de roulis, Alain réussit cependant à rétablir la situation sous les applaudissements. C’est vous dire s’il est habile.

Le comité présidé par Dominique lança 2 manches l’après-midi, plus difficiles encore que le matin en raison de l’augmentation du courant. Brice et Nicolas se disputaient la suprématie en laser, alors que le jeu paraissait plus ouvert en Vent d’Ouest, bien que ces derniers soient parfois surpris par les démarrages d’un Open 5.00. C’est vous dire si la guerre entre lasers et Vent D’ouest n’est pas enterrée à la frette.

Par la suite, un jury impartial hâtivement constitué dans la plus pure improvisation en fin de régate décida à l’unanimité de remettre la coupe Raymond 2012 à Alain Delecroix pour sa cascade en Solo.

Nous savons que Céline, lauréate l’an dernier, était très triste de se séparer de son magnifique trophée (à remettre en jeu chaque année, toi aussi chère lectrice, cher lecteur tu peux aussi un jour gagner la coupe Raymond !), mais rassurez-vous, d’après des proches, elle garde toutes ses chances si elle participe en 2013. C’est vous dire si ses proches ont confiance en elle !

Suite au travail de Bruno, sur Freg, il apparait que sur le plan sportif Brice Goineau en laser, l’emporte sur Nicolas Thepaut, devant François et Raphael en Vent d’ Ouest, « vu le type de vent en début de journée » j’aurais parié sur Brice me confia Bruno. C’est vous dire si c’est un spécialiste !

Cette « relation régatière »  est bien entendue dédiée à Raymond qui nous manque sur le quai depuis 2005.

REGATE DU 1er MAI AU CYVIA

En ce 1er mai, traditionnel jour de la fête du marinier et pas du régatier, nous nous retrouvions pour la traditionnelle régate départementale de l’Isle-Adam. Le premier mai est jour où les options péniches ne sont pas à l’ordre du jour. Comme promis, le soleil s’est joint à nous. L’attractivité de notre challenge départemental Legrand-Thery se confirme avec 17 bateaux inscrits dont deux yolistes venus de Saint Quentin. Merci à Olivier et à Laurence. Les doubles se sont déplacés en force, il y avait autant de d’engagés en double qu’en solitaire (8 doubles et 9 solitaires). La préparation des bateaux se fait dans la bonne humeur sous un léger Zéphir annonçant de belles manches au vu des forces en présence. Les traditionnels Frettois étaient bien représentés avec une seule ombre au tableau : un certain laser bleu était absent. Son propriétaire chapeauté s’était défilé pourun 1er mai frettois. Le CYVIA affichait de belles ambitions avec Matthieu en solitaire et en double avec le Fireball de Thierry et Brigitte ainsi que le Jet de Michel. ABC Voile s’est déplacé avec le Ponant des deux Philippes cette fois-ci bien remâté.

Un petit briefing est organisé pour remettre les coureurs dans le bain. Cette année, nous expérimentons les RIR selon les préconisations de la FFV. Les compétiteurs désireux de bavarder et de profiter de cette belle matinée sont rapidement rappelés à l’ordre par Michel Sediey et Christophe Habermacher vigilants sur la procédure pendant que les derniers retardataires sont en train de mettre à l’eau leur bateau. Procédure, ensuite annulée pour permettre à tous de prendre le départ. Cette année, le vent souffle dans le sens inverse du courant donc première remonté au vent en descendant le courant, petit bord de dégagement ,descente au vent arrière et remontée au près. Le décor étant planté, place aux manches…

Les concurrents vont rapidement se rendre compte que prendre un bon départ sur l’Oise est un art subtil particulièrement aujourd’hui. L’Oise n’étant pas très large, 17 bateaux tournant autour de la ligne font un beau paquet que n’ont rien à envier les bouchons provoqués à Paris par les diverses manifestations, en ce jour. L’art est compliqué par le tapis roulant du courant qui ramène implacablement les bateaux sur la ligne qu’Eole a bien du mal à éloigner. En plus, certains bateaux ont décidé de jouer avec la ligne et d’exploiter les possibilités de la procédure sous P dont le 470 de Gwenhaël et Arnaud. Les autres compétiteurs ne voulant pas laisser leur place montent sur la ligne mettant à rude épreuve les nerfs du comité de course et obligeant à lancer un rappel général sur la deuxième manche et des rappels individuels à chaque manche.

La remontée au près ou descente du courant s’effectue rapidement avec une difficulté tactique, les adonnantes sont près des rives là où précisément les fonds sont les plus faibles. La bouée au vent est à négocier au plus près si l’on ne veut pas continuer “au plus loin”… Le courant, notre précieux allié devient notre pire ennemi à la bouée de dégagement. Par faible vent les premiers reculent, les poursuivant s’engagent dans l’espace laissé libre par le courant… Bref plusieurs fois, la sortie vers le vent arrière avait complètement rebattu les cartes de la régate. D’habitude la descente est plus facile que la remontée, ici c’est l’inverse, c’est la remontée du courant. En cette période printanière, l’Oise charrie quelques beaux OFNIS (entendez objets flottants non identifiés en bois) obligeant le barreur à une attention de tous les instants Il faut bien reconnaitre qu’au jeu de la descente, Matthieu met à profit son expérience pour distancer souvent ses concurrents. L’enroulement de la bouée de vent arrière réserve quelques pièges du courant en poussant le bateau dessus. Il faut aimer raser la bouée de près mais pas trop. La dernière remontée au vent s’effectue à l’image de la première courant plaisant mais belles bascules permettant de profiter de belles opportunités de dépasser son prédécesseur.

Nous avons couru 4 manches et tenté le départ d’une cinquième manche… mais Eole a dit stop en cette fête du travail c’est déjà une belle régate. Déjà sur la quatrième, alors que les premiers ont effectués le parcours assez rapidement, les poursuivants ont été retenus à la bouée au vent un long moment. Arrivé, Matthieu donne ses conseils à ses jeunes élèves dans un transat ! Elise est arrivée sous les applaudissements de tous. Pour finir la journée, les résultats ont été proclamés avec une petite distribution de niveaux (l’outil) aux concurrents, les invitant à redresser ce qui n’allait pas aujourd’hui. Echappant à cette distribution, Matthieu vainqueur de 3 manches sur 4 et Michel qui a su mener son Jet au mieux. Olivier sur sa Yole prend la deuxième place (Matthieu a acquis une belle expérience de son plan d’eau) et Simon qui termine troisième sur son Laser (l’honneur des engins de plage face aux vrais bateaux est sauf). Au final, chacun a pris plaisir à naviguer et à se retrouver à terre. Merci au CYVIA pour cette belle régate.

Pour conclure, un petit mot du classement du challenge Le grand Théry, après 3 régates des tendances se dessine. La Frette mène toujours grâce à sa participation assidue. En solitaire, François laisse la place à Jean. En bon président, il recule prudemment à la troisième place pour contrer la percée d’un jeune loup (bien connu) aux dents dans longues : Matthieu. Suite du match à Cergy… En double, Gwenhaël et Arnaud mènent grâce à leur participation à toutes les régates. Grâce à ce mécanisme, un double est second au classement scratch. Au classement des clubs, le leader du classement provisoire par équipe reste La Frette. Cergy garde une longueur d’avance en termes de participation malgré son absence aujourd’hui.

 

RDV Au 13 mai pour la quatrième manche du challenge à Cergy.

DERNIERE REGATE DE CERGY LE 13 MAI

Gros succès de participation pour cette régate intersérie avec plus de 40 bateaux , grâce à la participation des Open bics .

Les concurrents ont pu profiter du vent bien établi pendant 7 manches.

La victoire en solitaire échappe une fois de plus aux SNF  cette saison , Gonzague Thery rate d’un cheveu la première place en laser derrière une yole ok dernier cri .

Mais Tiphaine Sire sauve l’honneur frettois en Open Bic et l’équipage Gwenael Blliotte et Arnaud Scheiwiller l’emporte dans la catégorie double .

En Solitaire:scores très disputés, Mathieu – CYVIA l’emporte avec 10 pts, suivi par Gonzague– SNF 11pts puis Férréol – CV95 11pts.

En double, Gwénael et Arnaud – SNF l’emporte avec 6pts, suivi par Brigitte et Thierry – CYVIA 10pts, puis Thomas etAntoine – CV95 qui place L’Equipe sur le podium 11pts.
Merci à Thomas et Christine pour l’organisation, ainsi qu’aux clubs extérieurs (CYC et yolistes) au département pour leur participation

Avec 14 équipages engagés, la plus grosse participation extérieure,  les frettois maintiennent leur domination par équipe dans le championnat.