Régates du 23 septembre 2007

Régates du 23 septembre 2007

Ce dimanche, 7 lasers frettois participaient à la régate de ligue laser de la BNO .en série radial sur 28 classés : Alan fait 16, Gaetan 23, Cédric 25 victime du pavillon noir dans une manche , en standard sur 20 bateaux, Brice est 1er, louis 11 eme, Gautier 12eme, Jean 15eme . il n’y a eu que 2 manches courues et des rappels généraux , la règle 30.3 dite du” pavillon noir” ou encore “BFD” qui sanctionne dans la minute les bateaux surpris au dessus de la ligne de départ a provoqué 4 disqualifications dans la 2eme manche de la régate radiale.
L’autre régate était celle des Vent d’Ouest, ayant chacun prévu une régate de cette série dans leur club respectif, les SNF et le CVBS se sont finalement accordés en raison de la faible participation dans chaque club pour faire une seule régate avec un nombre raisonnable de bateaux et cette dernière s’est déroulée à Montesson.Grace au professionalisme du comité de course du CVBS qui a su gérer parfaitement une météo difficile dans un vent trés incertain, la régate a pu se dérouler dans de bonnes conditions. Les équipages ont d’abord souffert lors de deux manches trés peu ventées particulièrement sélectives, pour bénéficier ensuite de deux manches bien ventées. Le commodore Pierre Toureau équipé par le président du CVBS Claude Herbillion s’est imposé dans la première manche sur le légendaire Bouton d’Or, VO 273 , les 3 autres manches ont été remportées par François Perche et Mael Mignot sur l’ancien bateau de Michel Moreuil, le VO 262.Les équipages frettois n’étaient pas venus pour faire de la figuration puisque Jean-Paul Catherine et son fils Tommy se placent 4emes , Dominique Laridan et Nicolas Thépaut se classent 5emes. L’accueuil de nos voisin et amis de Montesson a été particulièrement sympathique et la compétition a permis, dans les 2 clubs, aux nouveaux équipiers,ravis de leur journée de s’initier à la régate et au Vent d’Ouest. Quelques éclats de rire juvéniles ont salué le désenvasement du VO 262 et le bain forcé de son skipper à l’occasion de cette délicate manoeuvre, le barreur du 213 a également gouté involontairement au joies du bain de Seine, mais…au milieu du fleuve, justifiant ainsi l’utilité du gilet de sauvetage.